mercredi 25 juillet 2018

Nouveautés à la BSJ - semaine du 25 juillet 2018

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Venez voir toutes les nouveautés reçues à la BSJ cette semaine ! Pour les curieux, voici un petit aperçu :  



Homicide, une année dans les rues de Baltimore - Tome 3 
10 février - 2 avril 1988
Philippe Squarzoni


L’immersion dans le quotidien des inspecteurs de l’unité des homicides de Baltimore en 1988 se poursuit dans cette troisième partie de l’adaptation sous forme de BD du livre de David Simon, à l’origine de sa série The Wire (Sur écoute). 

Un flic a reçu deux balles dans le visage. Pas d'arme. Pas de mobile. Pas d'indices matériels. Mais Terry McLarney a été le sergent de Cassidy. Son ami. Et il fera tout pour découvrir le coupable. Alors que l’affaire Latonya Wallace accapare toujours Landsman et Pelligrini, le tableau se couvre d’encre rouge. Les corps s'empilent, le taux de résolution plonge et la pression augmente…






Isabelle Francesconi

Avec la collection " Je sais ce que je mange " on découvre d'où viennent nos aliments préférés, comment ils sont cultivés, élevés, transformés… Et si maintenant on apprenait à les cuisiner avec de délicieuses recettes ?

C'est que nous propose Isabelle Francesconi : pain perdu, crêpes… Ce livre présente d'une vingtaine de recettes, expliquées pas à pas et agrémentées d'astuces de grands cuisiniers.

À quelle période peut-on déguster une bonne salade de tomates ? À la belle saison évidemment ! C'est à ce moment que les tomates sont les plus savoureuses car elles n'ont pas poussées sous serre.

Comment choisir ses produits ? En décryptant les étiquettes et en consommant local si possible ! À chaque recette, une ardoise façon bistrot donne des indications au petit cuisinier en herbe.

Plus qu'un livre de recette, Je cuisine les pieds sur Terre ouvre la réflexion sur un autre mode de consommation.

Alors à vos fourneaux !




Résilience de victimes à Abidjan : Débrouille de femmes après la guerre civile ivoirienne
Titi Palé






Cette ethnographie rapide des formes de résilience que les femmes victimes de la guerre civile ivoirienne mobilisent montre comment celles-ci, loin d'être résignées, ont multiplié les stratégies pour s'en sortir. Pour ces veuves, mères célibataires ou amputées, la solidarité s'est mise "en mode échec". La résilience participe des stratégies individuelles de survie mais ne suffiront pas à une réinsertion sociale digne de ce nom.











Xavier Manga




Le présent ouvrage s’attache à examiner les tendances communicationnelles à l’ère des bad buzz, des situations de communication sensible et des polémiques dans les médias socionumériques. L’auteur analyse les facteurs déclencheurs de ces crises de même que leurs foyers de développement et leurs mécanismes de diffusion. Il étudie également les stratégies de réaction que les entreprises élaborent pour y faire face. Quelles erreurs ces organisations ont-elles commises, et quels échecs ont-elles subis ? Quelles ont été les pratiques et les approches ­optimales ? Le livre, in fine, offre une réflexion sur ce qu’est la rhétorique du Web social.







Les Traités et les relations qui en découlent
Société Histoire Canada

Une meilleure compréhension des Traités et des relations qui en découlent ne peut que bénéficier à tous. Ce numéro spécial fait partie d’une conversation à plus grande échelle, pour veiller à raconter une histoire réellement inclusive.

Ce numéro d’Histoire Canada explore l’histoire des Traités et des relations qui en découlent et constitue un premier pas important vers la découverte du point de vue des Premières Nations.

Il a été créé avec des collaborateurs qui nous ont aidés à y insuffler l’esprit de ces Traités, et à nous faire apprécier leur véritable intention. Les collaborateurs, venant des quatre coins du pays, nous font bénéficier de leur expertise et de leurs réflexions pour nous aider à comprendre les Traités et les relations qui en sont issues, et qui demeurent d’actualité, encore aujourd’hui.




Tassia Trifiatis-Tezgel

En 2011, Tassia Trifiatis-Tezgel part s’installer à Istanbul avec son mari. Au cours de ses trois années de vie dans la métropole turque, elle écrit des instantanés sur son quotidien, son exploration du quartier populaire où elle habite, ses anecdotes recueillies au marché du coin, sa découverte de la tentaculaire Istanbul, puis la profonde amitié qu’elle réussit finalement à nouer avec Özlem, une jeune femme originaire du Kurdistan.

Caroline Lavergne est dessinatrice. Elle et Tassia sont amies. En novembre 2013, Caroline part rejoindre Tassia en Turquie pour « mettre en dessins » ses mots, son Istanbul. Armée de sa plume et de ses aquarelles, Caroline s’imprègne de la vie stambouliote. Elle ramène de son voyage des illustrations des scènes et des habitants d’Istanbul empreintes de douceur et de sensibilité.

Les platanes d’Istanbul, c’est une histoire d’amitiés au pluriel et une chronique de la vie loin de chez soi. Tassia Trifiatis-Tezgel y explore les questions du métissage culturel, des racines et des liens familiaux, dans une langue poétique, sensible et audacieuse.

À mi-chemin entre la chronique de voyage et le journal intime, ce livre, né d’un ensemble d’amitiés, offre une vision émouvante et insolite de la cinquième plus grande ville du monde, hors des sentiers battus et à l’écart des seuls lieux touristiques. Résultat d’une création à quatre yeux et à quatre mains, c’est aussi une ode aux femmes et à l’amitié féminine en particulier.




Spirit Bear et les enfants passent à l’histoire
Cindy Blackstock et Eddy Robinson


Lorsque la mère de Spirit Bear lui explique cette importante cause en matière de droits de la personne qui se déroule à Ottawa en Ontario, il fait le LONG voyage (en train, son mode de transport favori) pour assister aux audiences et supporter les enfants des Premières Nations.

Et il n’est pas le seul ! De nombreux enfants viennent aussi pour écouter et démontrer leur appui. Spirit Bear sait que les enfants peuvent changer le monde parce qu’il est là pour le constater.
C’est l’histoire de la façon dont les enfants, des enfants comme vous, pouvez faire la différence...avec un peu d’aide d’autres oursons et d’autres animaux!




Mario Cholette




Sommes-nous solitude ou multitude ? En V, c'est l'image des oiseaux migrateurs, mais également la relation, toujours trouble, unissant le groupe et l'individu.


Quand je m'ailes en deux
au-dessus des orchestres de béton
j'écoute l'inépuisable murmure
de nos espoirs réunis










Les artisans de la lumière : Histoire de la Fraternité interprovinciale des ouvriers en électricité
Monique Audet

L'électrification a marqué un tournant dans le dévelo­ppe­ment du Québec, apportant la modernité au coeur de la ruralité. Viendra ensuite l'ère des grands travaux hydroélectriques visant à être «maîtres chez nous». Mais, derrière ces grandes politiques se trouvent des travailleurs qui ont jalonné le terri­toire de ces infrastructures. Monique Audet relate cette histoire à travers celle du principal syndicat des ouvriers québécois du secteur de l'électricité.

Les années 1880 voient la fondation aux États-Unis du premier syndicat des ouvriers en électricité. Avec la création de plusieurs sections locales au Québec et au Canada, ce dernier a rapidement été désigné comme syndicat international. Il faudra attendre 1972 pour que la Fraternité interprovinciale des ouvriers en électricité (FIPOE), née d'une scission avec le syndicalisme international américain, voie le jour.

Une année seulement après sa création, avec l'aide de la FTQ, la FIPOE devient l'organisation représentant la vaste majorité des ouvriers en électricité au Québec, au sein de l'industrie du bâtiment, mais aussi dans plusieurs secteurs manufacturiers liés à l'électricité, de même que chez les monteurs de lignes. 


Bonnes lectures, et n'hésitez pas à venir nous voir si vous avez des questions ! 

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